Le haka, ce chant-danse rituel maori rendu célèbre par les All Blacks, ne se contente plus d’électriser les terrains de rugby. À Paris, il s’invite dans les séminaires d’entreprise pour bousculer les codes du team building. En quelques minutes, une équipe se transforme en tribu soudée, criant d’une même voix, portée par une énergie brute et fédératrice. Un moment fort, hors du cadre, qui laisse une empreinte durable dans les esprits. Vous êtes prêts à tenter l’expérience ?
À la base, le haka n’est pas une simple chorégraphie, c’est un véritable rituel. Né dans la culture maorie, ce chant-danse servait autrefois à rassembler les tribus avant une bataille ou une cérémonie importante. Chaque geste, chaque cri, chaque regard porte une intention : affirmer la force du groupe, montrer son unité et honorer les ancêtres. En entreprise, cet héritage prend tout son sens. Le haka agit comme un cri de ralliement moderne : il efface la hiérarchie, fait tomber les étiquettes et place chacun sur le même pied. On n’est plus manager, comptable ou stagiaire : on est une équipe, unie, concentrée et alignée. Et cette transformation, on la sent dès les premières minutes.
Dès les premiers pas, ça remue. Littéralement. On tape du pied, on crie, on se tient droit. L’énergie monte, les inhibitions tombent. Même les plus timides finissent par jouer le jeu, emportés par la dynamique de groupe. Et ça fait un bien fou. C’est un vrai « reset mental » : on sort du mental, on libère les tensions, on reconnecte avec le corps, avec les autres. C’est intense, parfois un peu déstabilisant… mais toujours puissant. Et surtout : ça reste. Dans les corps, dans les têtes et dans l’ambiance d’équipe.
Pas besoin d’être sportif, à l’aise en public ou fan de rugby. Le haka ne juge pas, il embarque. Chacun y met ce qu’il peut et ce qu’il veut. Et c’est justement ce qui rend l’expérience si forte : les personnalités se révèlent, les rôles s’inversent parfois… mais au final, tout le monde vibre ensemble. Dans les faits, ce sont souvent les plus discrets qui surprennent, et les plus extravertis qui apprennent à canaliser leur énergie pour le collectif. Une belle leçon d’écoute, de respect et d’unité.
Dès l’arrivée dans la salle, le ton est donné. Les animateurs déboulent avec une énergie brute, presque magnétique. En quelques secondes, le groupe est captivé, les regards intrigués, les premiers sourires apparaissent. On entre dans un autre univers. Pas juste une animation — une immersion.
Avant le moindre cri, on prend le temps de comprendre. On plonge dans l’histoire du haka, avec ses racines ancestrales. On découvre la légende de Tane-rore, fils du dieu Soleil, dont les mouvements légers et tremblants sont à l’origine même de cette danse. Puis vient l’explication du célèbre Ka Mate, ce haka guerrier composé au XIXe siècle par Te Rauparaha, un chef maori ayant échappé à la mort. Le chant qu’il a créé célèbre la vie qui triomphe. Et quand on en comprend le sens… on n’entend plus jamais un haka de la même façon.
Pas de blabla théorique : ici, on entre vite dans le vif du sujet. Et c’est ça qui fonctionne !
Besoin d’un coup de boost rapide en début de séminaire ? Optez pour la version « Ice Breaker » en 45 minutes. Envie d’un format plus immersif ? Prévoyez un atelier complet de 2h avec création d’un haka personnalisé autour des valeurs de votre entreprise. L’activité s’adapte à vos contraintes : en français ou en anglais, en intérieur comme en extérieur, dans vos locaux ou dans un lieu privatisé à Paris. Vous avez le cadre — nous apportons l’esprit.
C’est fou ce qu’un atelier haka peut révéler. En moins d’une heure, vos collaborateurs activent des compétences qu’on ne voit pas toujours derrière un écran : la confiance en soi, d’abord, parce qu’il faut oser s’exprimer avec le corps et la voix ; l’écoute, indispensable pour rester en phase avec le groupe ; la coordination, quand il s’agit de synchroniser les mouvements ; et bien sûr, l’expression non verbale, ce langage souvent oublié au bureau… mais essentiel dans la vie d’équipe.
Ce qui rend l’exercice si puissant, c’est son cadre. L’atelier se déroule dans une ambiance bienveillante, sans jugement, où chacun est encouragé à participer à son niveau. Résultat : on progresse vite, ensemble, et dans le plaisir.
Ce qu’on retient d’un atelier haka, ce ne sont pas que les gestes. C’est ce qui se passe entre les lignes : les regards échangés, les fous rires, la gêne qui se transforme en complicité, les cris partagés. Ce sont ces petits moments suspendus qui, ensemble, créent un souvenir fort, un repère émotionnel dans la vie de l’équipe.
Ce souvenir devient un fil rouge. Certains managers glissent même une référence au haka dans leurs réunions : un mot, un geste, et hop, toute l’équipe se reconnecte.
Le haka trouve tout son sens dans les contextes de transformation. Fusion d’équipes, arrivée d’un nouveau manager, virage stratégique… L’atelier agit comme un rituel de passage. Il permet de matérialiser le « nouveau départ », de poser les bases d’une culture commune à travers un langage universel : celui du corps, de la voix, de l’émotion.
Le haka, c’est tout sauf élitiste. Il ne demande ni condition physique particulière ni aisance scénique. Ce qui compte, c’est l’intention, l’envie d’entrer dans une énergie commune. Et là, surprise : ce sont souvent les plus réservés qui créent l’effet « wahou ».
Les animateurs savent parfaitement composer avec tous les profils. Ils rassurent, guident et encouragent. Les extravertis ? On canalise leur feu. Les timides ? On les aide à prendre leur place, sans forcer. Et très vite, l’effet de groupe prend le dessus. On rit ensemble. On s’étonne. On se découvre autrement.
Petit comité de 10 personnes ou team building XXL à 200 participants ? Pas de souci. Le haka se module, se découpe en sous-groupes, se synchronise… et garde son intensité.
Quant à la mixité ? Aucune barrière. Les femmes s’approprient le haka avec tout autant de puissance, parfois avec plus de précision et de fluidité. Certaines entreprises vont même jusqu’à créer leur propre version, plus chorégraphiée, plus expressive — mais toujours dans le respect des codes maoris.
Bref : que votre équipe soit jeune, senior, mixte, internationale, en pleine fusion ou toute neuve… le haka saura lui parler. Parce qu’avant tout, c’est un langage universel.
Le haka, ce n’est pas juste une animation qui fait de l’effet. C’est une expérience qui transforme. En moins de deux heures, vos équipes partagent un moment fort, sincère, hors du cadre — et en ressortent plus soudées, plus confiantes, plus vivantes. À Paris, de plus en plus d’entreprises l’adoptent pour célébrer une étape, lancer un projet ou simplement recréer du lien. Ce qui se vit collectivement pendant un haka reste dans les corps… et dans les esprits. Chez Yaazzz, on ne propose pas (encore) d’ateliers haka… mais on partage le même objectif : créer des moments forts, qui marquent et qui fédèrent. Théâtre d’impro, fresque street art… On a d’autres formats tout aussi impactants pour réveiller l’esprit d’équipe. Parlons-en ?
Vous avez le choix : une version “Ice Breaker” de 45 minutes pour réveiller l’énergie en douceur, ou un atelier plus complet de 1h30 à 2h, avec création d’un haka sur-mesure autour des valeurs de votre entreprise.
Absolument. Aucun niveau requis, ni physique ni artistique. L’atelier est pensé pour embarquer tout le monde, des plus discrets aux plus extravertis, avec une pédagogie progressive et bienveillante.
Pas forcément. L’atelier peut s’organiser dans une salle, un espace extérieur, ou même dans vos propres locaux, à condition d’avoir un peu de place pour bouger librement.
Oui, et on vous le conseille ! C’est un excellent moyen de garder une trace de ce moment fort, et de réactiver l’énergie collective plus tard.
Oui. Les ateliers sont disponibles en français et en anglais — idéal pour les équipes internationales ou les séminaires multiculturels.
