Astuce bonus : Donnez envie plutôt que des leçons.
Une touche d’humour et des relais motivés valent bien plus qu’un long discours moralisateur.
Chaque année, en novembre, la campagne Mois Sans Tabac mobilise des milliers de Français. Mais au bureau, on en parle peu. Ou alors rapidement, entre deux mails, sans vraiment s’en emparer. Pourtant, ce moment pourrait devenir un vrai temps fort d’équipe.
Car derrière ce défi santé se cache une opportunité rare : celle de fédérer autour d’un objectif positif, d’ouvrir la discussion sur des sujets sensibles (sans dramatiser), et de créer de nouveaux rituels collectifs.
En tant qu’entreprise spécialisée dans le team building, on le constate chaque jour : quand une équipe se rassemble autour d’un projet qui a du sens, les liens se resserrent, l’ambiance change, les visages s’ouvrent. Et si cette année, vous faisiez de novembre un mois pas comme les autres ?
Recevoir un mail RH avec un lien vers tabac-info-service.fr, c'est classique. Mais soyons honnêtes : ce genre d'info descendante ne suffit pas à créer une vraie dynamique. Pour embarquer une équipe, il faut bien plus qu’un lien ou une affiche. Il faut :
Bref, il faut un format vivant, collectif et incarné. C’est exactement ce que permet le challenge : passer de l’intention à l’action, ensemble et avec enthousiasme.
L’un des grands avantages du Mois Sans Tabac, c’est qu’il ouvre la porte à des actions concrètes. On ne parle pas de grands discours sur la QVT ou de politiques hors-sol, mais de gestes simples, qui touchent directement le quotidien des équipes.
Un atelier de respiration pour couper avec le stress, une pause fruitée qui remplace la clope du matin, un moment de rigolade autour d’un quiz santé… Et voilà qu’en quelques jours, l’ambiance évolue. On prend soin de soi, ensemble, sans pression. On apprend à ralentir, à se soutenir, à changer de regard sur la pause. C’est ce genre de petit déclic collectif qui peut vraiment faire la différence.
Le défi du Mois Sans Tabac n’est pas réservé aux fumeurs. C’est justement là qu’il devient intéressant. Tout le monde peut y trouver sa place :
On ne cherche pas à juger, ni à imposer un rythme. On crée un espace où chacun peut contribuer à sa manière. Et ça change tout. Petit à petit, on voit des discussions inattendues émerger, des rires partagés à la pause et des gestes d’encouragement spontanés. Dans une entreprise où les journées filent vite, ce genre de respiration partagée fait un bien fou.
À Paris, où les talents sont très sollicités, l’attention portée au bien-être n’est plus un “plus”. C’est un vrai critère de choix pour rester ou pour partir. En lançant ce type de challenge, vous montrez que l’entreprise ne se contente pas de slogans : elle agit, et elle le fait avec intelligence et authenticité.
Et croyez-nous, cela ne passe pas inaperçu. C’est ce genre d’initiative qui forge une culture d’entreprise vivante, relationnelle et engageante. Celle dont les gens parlent avec fierté, même en dehors des murs.
Pas besoin de tout chambouler ou d’un plan XXL. Il suffit parfois de quelques idées bien pensées, d’un noyau de collaborateurs motivés, et d’une envie sincère de faire bouger les lignes. Une dynamique, ça se lance avec peu de moyens, mais beaucoup d’authenticité. Et souvent, c’est ce qui parle le plus aux équipes : quelque chose de vrai, de simple et de réel. Le plus dur, c’est le premier pas. Après, ça suit tout seul.
Derrière chaque projet qui fonctionne, il y a des visages. Pour que le challenge prenne vie, il vaut mieux éviter le modèle purement top-down. Constituez plutôt une petite “task-force” volontaire :
Des profils différents, unis par l’envie de faire bouger les lignes. Ce trio pilotera la com’, les temps forts, les animations. Et surtout, il donnera un visage au projet. Ce qui est essentiel pour créer de l’adhésion : on ne suit pas une campagne, on suit des collègues en qui on a confiance !
Le ton change tout. Si vous balancez des slogans “Arrêtez de fumer maintenant !”, vous risquez de braquer. À l’inverse, une communication légère, bienveillante et décalée peut faire mouche. Pensez à :
L’objectif, c’est de créer un état d’esprit collectif. Et de rappeler, subtilement, que personne n’est seul dans ce défi.
Un challenge, c’est aussi une histoire qu’on raconte semaine après semaine. Voici un exemple de structure simple à adapter :
Avec ce format, chacun sait où il en est, et surtout : il se passe toujours quelque chose.
Paris regorge d'endroits inspirants pour sortir du bureau, respirer un peu et retisser du lien. Le Mois Sans Tabac peut facilement devenir le fil rouge d'activités collectives originales, qui donnent du sens au mois de novembre. L’idée, ce n’est pas de multiplier les animations, mais d’en proposer quelques-unes qui rassemblent vraiment avec du fond et du fun. En voici quelques-unes qui fonctionnent très bien sur le terrain.
On compose des équipes, on choisit un quartier (Montmartre, les Passages Couverts, les quais de Seine…), et on lance un rallye urbain avec des mini-défis à chaque étape. Respiration guidée, quiz santé, coaching flash… ou même une virée en Tuktuk Express pour dynamiser le parcours tout en surprenant les participants.
Les collaborateurs bougent, rigolent et découvrent autre chose que leur open space. Et finalement, le message passe mieux : la pause n’a pas besoin d’être fumeuse pour être joyeuse.
Ce n’est pas parce qu’on respire qu’on sait respirer. Un atelier de cohérence cardiaque ou de respiration consciente peut faire des merveilles. 30 minutes suffisent pour ressentir un effet immédiat.
L’idée ? Offrir à chacun un moment pour se recentrer, couper avec le stress… et expérimenter une vraie alternative à la pause clope. C’est simple, peu coûteux, et souvent bluffant.
Direction Buttes-Chaumont ou Jardin du Luxembourg. On y organise une chasse au trésor par petits groupes, avec des :
Ce format plaît parce qu’il est à la fois ludique, accessible à tous, et porteur de sens. On respire, on se dépense, on se marre. Que demander de plus ?
Voici une idée originale : un escape game qui raconte l’histoire d’une personne qui veut se libérer d’une habitude qui la retient.
Le tout dans une mise en scène légère, mais engageante. C’est un excellent support de discussion, et un format qui marque durablement.
Le challenge touche à sa fin, mais l’histoire ne s’arrête pas là. C’est justement maintenant que tout se joue : comment garder l’élan ? Comment faire en sorte que ce ne soit pas juste une parenthèse, mais le début d’autre chose ? Voici quelques pistes concrètes pour ancrer durablement cette dynamique positive dans la vie de l’équipe.
Avant de ranger les affiches, proposez un petit sondage. Rien de lourd et juste quelques questions :
Vous pouvez aussi organiser un moment d’échange libre, ou simplement tendre l’oreille à la machine à café. Ces retours sont précieux pour nourrir vos prochaines actions RH ou QVT.
Tout le monde ne va pas arrêter de fumer, et ce n’est pas le sujet. Ce qui compte, c’est d’avoir participé, soutenu, essayé et partagé. Un apéro smoothie, quelques trophées symboliques, un mail de remerciement bien senti… Et vous laissez une trace positive, sans jugement et sans pression.
Le challenge Mois Sans Tabac peut être une porte d’entrée vers d’autres habitudes durables :
Ces petits gestes, s’ils sont réguliers, changent profondément l’atmosphère au travail. Et renforcent l’envie de rester.
Et si, au lieu de subir l’automne, vous en faisiez un mois pour reprendre souffle, remettre du lien, et redonner du sens au collectif ?
Le challenge entreprise Mois Sans Tabac, ce n’est pas un défi santé de plus. C’est une opportunité de fédérer autrement, d’agir sur le climat social sans forcer et d’apporter un vent de fraîcheur dans les bureaux. Et vous n’êtes pas seul pour le faire !
Ce type de challenge permet d’allier engagement collectif et bien-être individuel. Il favorise la cohésion, donne du sens, et crée une dynamique positive accessible à tous les collaborateurs, fumeurs ou non.
En les intégrant comme soutiens ou partenaires : animation de défis bien-être, participation à des activités collectives, relais de communication… Ils deviennent moteurs de la dynamique, sans que le défi leur semble “hors sujet”.
Non. L’objectif n’est pas la performance, mais la mobilisation. Réduction, prise de conscience, simple participation : chaque pas compte. Le respect du rythme de chacun est fondamental.
Le budget dépend de l’ampleur souhaitée. Il est possible de concevoir une version simple avec des moyens internes, ou d’aller plus loin avec des activités de team building, des ateliers bien-être ou des intervenants extérieurs.
Oui, certains acteurs spécialisés en team building (comme nous) peuvent vous aider à construire un programme clé en main, adapté à votre culture d’entreprise, vos objectifs et votre réalité terrain.