En entreprise, il y a des compétences qu’on voit, qu’on mesure, qu’on affiche dans un CV. Et puis il y a celles qu’on ne dit pas. Qui se glissent dans les silences, dans les regards fuyants, dans les idées qu’on garde pour soi.
La confiance en soi, c’est ça : discrète, mais décisive. Elle influence tout : la façon de parler, de proposer, de gérer un désaccord, de collaborer. Et quand elle vacille, tout le reste suit.
Bonne nouvelle : elle se travaille. Et pas besoin d’un séminaire de développement personnel ou d’une énième conférence inspirante. Non, la confiance peut (re)naître à travers des expériences collectives, bien pensées, bien encadrées. Des moments où l’on sort du cadre, où l’on se redécouvre, où l’équipe devient un vrai soutien.
Alors, pourquoi miser là-dessus ? Quels formats choisir ? Comment faire en sorte que ça ne sonne pas “forcé” ? On vous partage ici des pistes concrètes, des exemples vécus, et quelques clés pour transformer de simples ateliers en vrais déclencheurs de confiance individuelle et collective.
En entreprise, on parle productivité, soft skills, gestion du stress… mais rarement de confiance. Et pourtant, c’est souvent ça qui coince.
Ce “je ne suis pas sûr que ce soit légitime”, ce “j’allais le dire, mais…”
Surtout dans des équipes qui traversent des réorganisations, des objectifs mouvants, des périodes floues. Quand le doute s’installe, la prise d’initiative fond, la communication se tend, les talents se mettent en retrait.
Travailler la confiance, c’est remettre du mouvement là où ça se fige. C’est offrir un espace où chacun peut reprendre sa place, oser dire, oser faire. Pas pour briller, mais pour avancer. Et ça change tout.
Un salarié qui doute, c’est un salarié qui retient. Ses idées, son énergie, son envie. Et à force, c’est toute l’équipe qui s’essouffle. Le stress monte, les non-dits s’installent, la collaboration se fragilise.
Mais quand on remet un peu de confiance dans l’équation, ça circule à nouveau. Les échanges sont plus simples, les relations plus saines, les projets plus fluides.
Et on n’a pas besoin de grands discours : parfois, un jeu de rôle bien cadré, un atelier d’impro, un moment sincère en cercle suffit à relancer une dynamique. Chez Yaazzz, on le voit tous les jours dans nos ateliers à Paris : ce que les salariés attendent, ce sont des espaces où ils peuvent s’exprimer sans crainte et se sentir (vraiment) écoutés.
Premier objectif : que chacun se dise “j’ai ma place ici”. Oser proposer une idée, s’exprimer devant l’équipe, poser un désaccord sans trembler.
Beaucoup de collaborateurs se freinent par peur de mal faire, de déranger, de ne pas être assez. Un atelier bien conçu permet de tester, de rater, de recommencer… sans jugement.
On ne cherche pas à booster artificiellement l’égo. On cherche à ancrer un sentiment plus solide : celui de pouvoir être soi, clairement, dans un cadre pro.
Quand la confiance individuelle monte, les liens dans l’équipe changent. On se compare moins, on écoute plus. On ose demander de l’aide, on valorise les autres.
Un exercice de miroir, un compliment inattendu, un duo d’impro, ça peut paraître simple, mais ça ouvre des portes. Ça détend les tensions, ça reconnecte les collègues.
Et souvent, ces moments-là, les équipes s’en souviennent. Parce qu’ils sont sincères, parce qu’ils cassent le rythme, parce qu’ils font du bien.
La confiance en soi, ce n’est pas que pour se sentir mieux. C’est aussi ce qui permet d’être plus solide quand tout s’accélère. Un brief client à défendre, un projet à piloter, un conflit à gérer : ce sont des moments qui demandent du calme, de la clarté, de l’assurance.
En s’entraînant à poser sa voix, à tenir un regard, à exprimer un non clair, on développe une posture plus stable. Et on le fait dans un cadre protégé, loin de la pression habituelle. Ce qui facilite, ensuite, le passage à l’action sur le terrain.
Pas besoin d’être acteur pour y trouver son compte. Dans un jeu de rôle bien guidé, on peut tester des situations pro un feedback, une présentation, une prise de position en version “safe”.
On sort de l’automatisme, on essaie autre chose, on reçoit du feedback. Ce n’est pas du théâtre, c’est de l’expérimentation. Et quand c’est fait avec tact, humour et respect, ça débloque beaucoup.
On en ressort plus clair, plus affirmé. Et surtout, avec l’envie de réessayer, pour de vrai cette fois.
Se regarder dans le miroir, c’est une chose. Mais se voir à travers les yeux d’un collègue, c’est autre chose.
Un simple cercle de compliments, une minute pour dire “ce que j’admire chez toi”, ça touche. Et ça restaure.
Dans nos ateliers, ce sont souvent les moments les plus marquants. Ceux où les masques tombent, où les silences se remplissent d’authenticité. Et où chacun repart avec un petit capital confiance en plus.
On l’oublie parfois, mais le cadre compte. Sortir du bureau, c’est aussi sortir de son rôle.
Proposer un escape game en plein air, une chasse au trésor à Paris ou un atelier collaboratif, c’est créer un terrain neutre. Un espace pour se redécouvrir, rire, oser.
Et ce n’est pas un luxe :
Ce type de format casse les hiérarchies, ouvre des espaces d’expression, et ancre des souvenirs communs durables.
Avant de planifier quoi que ce soit, prenez le temps de poser la question : de quoi votre équipe a-t-elle besoin ?
Peut-être que ça coince sur la prise de parole, peut-être que c’est un manque de reconnaissance, ou juste une envie de se reconnecter.
Un questionnaire anonyme, une discussion informelle, une observation attentive : vous aurez vite des indices. Et ça vous aidera à choisir le bon format, au bon moment, pour le bon groupe.
Animer un atelier sur la confiance, ce n’est pas anodin. Il faut savoir poser un cadre, créer de la sécurité, doser l’intensité.
Un bon facilitateur ne force rien. Il propose, il accueille, il ajuste. Il sait lire ce qui se passe, même quand ça ne se dit pas.
Chez Yaazzz, c’est notre métier : créer des expériences humaines, authentiques, sur-mesure. Celles où les gens ne jouent pas un rôle, mais se reconnectent à eux-mêmes et aux autres, sans pression.
Un atelier, c’est bien. Mais c’est encore mieux quand il s’inscrit dans une dynamique.
Une fois par trimestre, un rituel mensuel, un fil rouge QVT… peu importe le format, l’idée c’est de montrer que ce n’est pas un one shot.
Que dans votre entreprise, la confiance, le lien, l’expression ont leur place.
C’est comme ça que les effets s’ancrent. Et que l’équipe, petit à petit, se transforme.
Une PME tech parisienne. Une nouvelle direction. Des objectifs revus. Et des collaborateurs un peu perdus.
Pas de crise ouverte, mais une ambiance plombée. Peu de prise d’initiative, beaucoup de retenue.
L’office manager sent que ça coince, mais veut éviter les grandes messes RH. Elle cherche un format simple, vrai, qui relance la dynamique sans forcer.
On choisit un jardin dans l’Est parisien, un lieu qui respire. Deux heures d’atelier menées par une comédienne-coach : jeux d’impro, cercles de parole, feedback croisé, mises en situation pro.
Pas de déguisement, pas de jeu forcé. Juste un cadre où chacun peut tester, s’écouter, s’exprimer.
Les rires fusent, les regards changent. On se redécouvre. Et pour certains, c’est même la première fois qu’ils se sentent vraiment “pris en compte”.
La semaine suivante, les réunions sont plus vivantes. Les discussions plus directes. L’énergie est revenue.
Le simple fait d’avoir eu cet espace a changé quelque chose. Et surtout, l’équipe en redemande. “On pourrait refaire ça dans six mois ?”
C’est souvent comme ça : quand un atelier touche juste, il ne fait pas qu’animer. Il transforme.
Travailler la confiance en soi, ce n’est pas du bonus. C’est une base. Parce qu’un salarié qui se sent bien, qui ose, qui coopère… fait avancer l’entreprise, tout simplement.
Pas besoin de grandes théories. Un cadre juste, des ateliers sincères, et une vraie volonté d’écouter. Ça suffit souvent pour changer l’ambiance d’une équipe — et lui redonner envie d’avancer ensemble.
Et si vous cherchez un coup de main pour imaginer ces temps-là, vous pouvez compter sur nous.
Chez Yaazzz, on conçoit des expériences humaines, dynamiques et sur-mesure pour aider les équipes à mieux se connaître, se faire confiance, et avancer ensemble.
Un atelier confiance en soi à Paris ? Une session hors-cadre qui fait du bien ? Écrivez-nous. On en fait un moment qui compte.
Parmi les plus efficaces : les jeux de rôles en lien avec le quotidien professionnel (feedback, prise de parole), les cercles de parole positifs, les ateliers d’improvisation, ou encore les défis collaboratifs en extérieur. L’idéal est de choisir des formats adaptés au contexte de l’équipe et animés par des professionnels pour garantir un cadre bienveillant.
Parce que la confiance en soi est un levier direct de performance, d’engagement et de bien-être. Un salarié qui se sent légitime ose plus, coopère mieux, prend des initiatives. Ces exercices permettent aussi de renforcer la cohésion d’équipe et de prévenir le stress ou le désengagement.
Oui, à condition de proposer des formats inclusifs, progressifs et non jugeants. L’objectif n’est pas de forcer l’expression, mais d’ouvrir un espace sécurisé où chacun peut avancer à son rythme. En team building, ces exercices peuvent être adaptés à des équipes très diverses, quel que soit le secteur d’activité.
De nombreux lieux atypiques à Paris se prêtent à ce type d’atelier : jardins partagés, rooftops, espaces culturels ou même en plein air. L’essentiel est de sortir du cadre habituel pour libérer la parole et favoriser l’expression. Chez Yaazzz, nous sélectionnons des lieux inspirants pour créer une vraie rupture et favoriser le lâcher-prise.