3 erreurs de communication qui nuisent à la cohésion

Découvrez ce qui nuit à la cohésion d’équipe et comment y remédier avec des solutions concrètes et des team building ciblés à Paris.

Parfois, tout a l’air de rouler. Les réunions s’enchaînent, les plannings sont tenus, les pauses-café restent animées. Et pourtant, on sent que quelque chose coince. Ce petit “je-ne-sais-quoi” qui ralentit l’élan collectif. Pas de conflit ouvert, pas de drame… mais une forme de flottement. Moins d’engagement, plus de silences et des initiatives qui s’éteignent avant d’avoir vu le jour.

Alors, on cherche : une mauvaise organisation ? Un manque de sens ? Un projet mal cadré ? Et si c’était plus simple (et plus insidieux) que ça ? Et si ce qui nuit à la cohésion d’équipe, ce n’était pas un gros blocage visible… mais des détails du quotidien, souvent liés à la façon dont on se parle. Ou plutôt, à la manière dont on ne se parle pas.

En tant qu’entreprise de team building, on a l’habitude de voir les tensions apparaître là où on ne les attend pas. Trois erreurs de communication, fréquentes, mais mal identifiées, reviennent habituellement. Bonne nouvelle : elles ne sont pas irréversibles. Mieux, elles peuvent devenir le point de départ d’un vrai travail de fond pour retisser des liens. Et à Paris, les formats pour y parvenir ne manquent pas.

Le flou dans les échanges : quand personne ne comprend la même chose

Il suffit d’un message un peu trop vague, d’une consigne balancée entre deux portes ou d’un “Tu gères ça ?” mal calibré… pour que l’équipe se retrouve à pédaler dans la semoule. Ce n’est pas de la mauvaise volonté, c’est de l’ambiguïté. Et c’est là que les problèmes commencent. Parce que chacun comprend à sa manière, agit selon sa propre lecture, puis découvre (trop tard) que ce n’était pas ce qu’on attendait.

Les consignes floues, ces fauteurs de trouble discrets

On croit être clair… mais on ne l’est pas. Ou on pense que le message est passé… alors qu’il a été interprété de trois façons différentes. Voilà comment, à partir d’un simple e-mail, une tension surgit : l’un a mal compris, l’autre n’a pas osé demander et au final, personne n’est sur la même longueur d’onde.

Ce genre de décalage ne fait pas de bruit au début, mais il s’accumule. Et au bout d’un moment, on se regarde de travers. On soupçonne l’autre de tirer au flanc, de ne pas suivre, de faire exprès. Alors qu’en réalité, on est tous dans le flou.

Des décisions qui tombent sans explication

Un nouveau logiciel imposé sans préavis, une réorganisation décidée en haut sans passer par la case terrain, ou encore un projet modifié sans contexte… Voilà de quoi semer le doute. Même quand l’intention est bonne, le silence autour du pourquoi laisse la place à toutes les interprétations.

Et dans une équipe, l’interprétation, c’est dangereux. Ça nourrit la méfiance, ça crée des clans, ça alimente les bruits de couloir. Surtout quand les membres ne partagent pas le même niveau d’information.

59%
des salariés sur 1002
Motif central

Réclament d'avantage des moments de cohésion en dehors du cadre professionnel.

Selon "YouGov-Comet Meetings".

Rétablir la clarté (sans faire un cours magistral)

On peut faire simple. Organiser un atelier de team building basé sur la transmission d’information, par exemple. Le genre d’activité où chaque mot compte, où il faut expliquer clairement une consigne à son binôme pour réussir.

Un rallye dans les passages couverts à Paris, une enquête à Montmartre, un jeu d’interprétation dans un espace atypique… Ces formats ludiques permettent à l’équipe d’expérimenter concrètement les effets du flou et de réfléchir ensemble à de nouvelles façons de communiquer. Et ça, ça laisse des traces.

Le manque d’écoute : quand tout le monde parle, mais personne ne s’entend

Ces réunions où tout le monde parle, mais où personne ne s’écoute vraiment, ça vous parle ? Les idées s’enchaînent, les interventions aussi, mais à la fin… rien ne se construit. Chacun défend son point de vue, parfois avec énergie, sans vraiment entendre l’autre. On sort de là avec la sensation d’avoir parlé dans le vide. Ce type de communication, désynchronisé et fermé, sape peu à peu la confiance et mine sérieusement la cohésion d’équipe.

Icône astuce

Astuce bonus : Misez sur une écoute active pour renforcer la cohésion.

Quand chacun se sent entendu, les échanges gagnent en clarté, la confiance s’installe et l’intelligence collective se déploie.

L’écoute absente, celle qui fait mal sans faire de bruit

Ce n’est pas qu’on s’ignore. C’est pire : on se coupe, on enchaîne, on répond avant d’avoir entendu. On est déjà en train de penser à ce qu’on va dire pendant que l’autre parle. Résultat : les bonnes idées passent à la trappe, les signaux faibles sont zappés et certains finissent par ne plus parler du tout.

Ce genre de dynamique est épuisante. Et pour ceux qui n’ont pas l’énergie de hausser le ton, c’est l’invisibilisation assurée.

Les signaux faibles ignorés

Une réponse plus sèche qu’à l’habitude, un silence inhabituel, un collègue qui se met soudain à couper sa caméra… Ces petits signes ne sont jamais anodins. Mais dans le rush quotidien, on ne les voit plus. Ou on les voit, mais on les range vite dans la case “pas grave”. Jusqu’au jour où la personne s’efface complètement.

Là encore, il ne s’agit pas de devenir psychologue. Juste de ralentir un peu. De prendre le temps d’observer, d’écouter autrement. Et d’oser poser des questions simples comme : 

  • Ça va ?
  • Tu veux en parler ?
  • Tu veux qu’on prenne un moment ?
75%
des employés
Motif central

Qui participent à des activités de team building constatent une meilleure communication avec leurs pairs.

D'après "Peak Sales Recruiting".

Réapprendre à écouter (sans que ce soit scolaire)

Heureusement, l’écoute, ça se travaille. Et pas besoin d’en faire un séminaire théorique. Un atelier d’impro, un jeu de coopération silencieux, une animation autour des récits croisés… Ces formats de team building invitent naturellement à se taire, à se concentrer, à reformuler.

On peut imaginer, par exemple, une session dans un jardin parisien, où chaque participant écoute une histoire… pour ensuite la transmettre à un autre, sans rien trahir du fond. C’est simple, puissant et souvent très révélateur.

Les non-dits : ce qu’on ne dit pas finit toujours par peser

Le non-dit, c’est sans doute le plus insidieux. On le devine, on le sent, mais personne ne le formule. Il naît d’un petit agacement qu’on garde pour soi, puis grandit en rancune silencieuse. Avec le temps, il creuse des distances, installe des malaises… et finit par briser un lien essentiel : la confiance. Rien ne semble grave en surface, mais à l’intérieur de l’équipe, quelque chose se fissure lentement jusqu’à fragiliser tout le collectif.

Décor gauche Décor droite

Désamorcez les tensions silencieuses avec des gestes clairs.
Une parole posée au bon moment restaure la confiance
et redonne de la solidité au collectif.

Le conflit évité, qui revient par la petite porte

Dans bien des équipes, on préfère “laisser couler”. On ne veut pas faire d’histoire. On se dit que ça va passer. Mais ça ne passe jamais vraiment, ça se stocke. Et un jour, ça ressort, souvent mal, souvent trop fort.

On croit préserver l’harmonie en évitant la confrontation. En réalité, on la condamne. Une équipe qui ne peut pas se dire les choses… ne peut pas fonctionner longtemps.

Les tensions interservices qui s’installent

Marketing et prod. RH et terrain. Back office et front office. Dans les grandes structures, les frictions entre services sont fréquentes. Rien de dramatique en soi. Mais quand elles ne sont jamais mises à plat, elles deviennent structurelles.

On finit par caricaturer l’autre service, par se méfier, par ne plus collaborer que par contrainte. Et ça freine tout :

  • Les projets
  • La créativité
  • L’envie de faire ensemble

Créez des passerelles entre les services avec des actions collectives.

En favorisant les synergies, vous transformez les frictions en coopération durable.

Nos animations pour vos Team Building

Ouvrir la parole, mais différemment

Parler de ses tensions en réunion, ce n’est pas toujours possible. Et parfois, ce n’est même pas souhaitable. Alors, on peut détourner le sujet, lui donner une forme symbolique. Créer une fresque collective, écrire une lettre fictive à l’équipe idéale, imaginer un scénario d’amélioration…

Ces détours permettent d’exprimer ce qui coince sans se mettre en danger. Et souvent, c’est le point de départ d’un vrai dialogue. Encore faut-il créer les conditions. Un lieu rassurant, une animation bienveillante, une énergie propice. Paris regorge d’espaces parfaits pour ça.

Identifier ce qui coince, c’est déjà avancer

Il n’y a pas de recette magique pour la cohésion d’équipe. Mais il y a une chose certaine : si la communication est bancale, le collectif s’essouffle. Et ça ne se règle pas avec un simple discours de motivation ou un afterwork improvisé.

En revanche, on peut agir. Observer, nommer, ajuster. Et surtout, créer des temps où les postures bougent, où chacun peut retrouver sa place autrement.

Chez Yaazzz, on conçoit des team building sur mesure pour ça. Des formats vivants, sensibles, adaptés aux réalités de vos équipes parisiennes. Pas pour faire joli, mais pour faire bouger. Pour que la cohésion ne soit pas un mot creux… mais une dynamique réelle, ancrée dans le quotidien.

Vous sentez que quelque chose s’est figé dans votre équipe ? Il est peut-être temps d’ouvrir un nouvel espace. On est là pour vous y aider.

Et si la cohésion se construisait autrement ?

En repensant les dynamiques d’équipe,
vous donnez à chacun la place d’agir, vraiment.

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Questions fréquentes

Quels sont les signes que la cohésion d’équipe est en danger ?

Des silences en réunion, une baisse de participation, des petits malentendus récurrents, une communication tendue ou des départs inattendus sont souvent des signes révélateurs. L’ambiance peut sembler calme en surface… alors que des tensions latentes minent la dynamique.

Est-ce qu’un simple problème de communication peut vraiment nuire à la cohésion ?

Oui, et bien plus qu’on ne le pense. Une consigne mal comprise ou un message mal transmis peut générer des conflits, du stress, voire une perte de confiance. Corriger ces erreurs de communication est donc essentiel pour maintenir l’équilibre d’équipe.

Comment éviter que les non-dits s’installent ?

En créant des espaces d’expression réguliers, informels ou encadrés. Cela peut passer par des feedbacks croisés, des réunions de débrief ou des activités collectives où la parole est valorisée. Un bon team building joue souvent un rôle déclencheur.

Quel type de team building pour améliorer la communication dans mon équipe ?

Les activités collaboratives avec mise en situation sont les plus efficaces : jeux de rôle, enquêtes à énigmes, théâtre d’impro, fresques collectives… L’essentiel est de favoriser un cadre sécurisant où chacun peut s’exprimer sans jugement.

À quelle fréquence organiser un team building pour entretenir la cohésion ?

Une à deux fois par an est un bon rythme pour renforcer les liens. Mais dès qu’un changement, une tension ou une nouvelle organisation se profile, c’est souvent le bon moment pour recréer du collectif.

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